Nouvel album, premier extrait : "Nothing Ever Matters"
Notre nouvel album se profile. Avec ce premier titre : « Nothing Ever Matters ». Chant de révolte ou de désespoir ? Plongée dans l’absurde ou reflet brut de notre époque ?
Une atmosphère suffocante comme un incendie de forêt, une tension palpable comme un jour de 2025 : une urgence à dire le réel, pour mieux l’appréhender, peut-être le transcender, voire même le changer…
Une danse de résistance ne suffira pas, mais elle peut donner de l’élan…
Notre clip ici. Suivez RÉSIS[tanz] sur Youtube !
[ lyrics]
Nothing Ever Matters
Expectations never met
Nurtured by a deceptive hope
A future that can no longer come
Sacrifices must be made !
No nothing ever matters in our lives
‘Cos nothing ever happens with our lies
Strangled by an invisible hand
Trying to breath a rarefied air
Prisoner of a nameless war
Enemies claim to be your friends
No nothing ever matters in our lives
‘Cos nothing ever happens with our crimes
Everything we can dream of
Everything we have to give up
Living in an entrenched camp
A better day is bound to come
Being assailed on every side
The promise of a paradise
No nothing ever matters in our lives
‘Cos nothing ever happens with our crimes
[clip]
RÉSIS[tanz] sur SoundCloud.
Chroniques d’un [futur]
Le XXIème siècle ressemble-t-il à ce que vous espériez étant enfant ?
La technologie répond-elle à vos aspirations les plus profondes ?
Marcher sur une planète qui brûle, cela ne vous fait pas mal aux pieds ?
Aimez-vous regarder des petits chats qui tombent dans des seaux d’eau ? Combien d’heures par jour ?
Pensez-vous toujours que l’Art peut changer le monde ?
Etes-vous heureux lorsqu’on like vos selfies ?
Préférez-vous les fleurs en plastique parce qu’elles sont éternelles ?
Aimez-vous votre travail, votre patron, votre salaire ?
Consommez-vous des anti-dépresseurs ?
Pensez-vous que les milliardaires vont sauver le monde ?
Aimez-vous toujours la musique ?
Dieu fait-il le maximum ?
Pour qui je me prends, à poser toutes ces questions ?
RSTZ
Chroniques d’un [passé]
« Le premier qui, ayant enclos un terrain, s’avisa de dire : ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de meurtres, que de misères et d’horreurs n’eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé, eût crié à ses semblables : Gardez-vous d’écouter cet imposteur ; Vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous, et que la terre n’est à personne. »
Jean-Jacques Rousseau – Emile ou de l’éducation (1762)